mardi 14 octobre 2008

Continental : J.P. Bouyxou, Catherine Spaak ... Août 1969

A l'heure où la France voit resurgir avec bonheur une revue consacrée au cinéma érotique, la bien nommée Cinérotica, plongeons nous dans les kiosques anglais des années 1960 pour redécouvrir une des perles du genre. Continental, en 32 pages, dressait un panorama des sorties de films érotiques, expérimentaux, contestataires et accueillait parfois des plumes françaises comme dans ce numéro, où l'on peut lire Jean-Pierre Bouyxou évoquant le cinéma Underground français (Jean-Jacques Lebel, Pierre Clémenti, etc.) Et que demander de plus qu'une sublime couverture avec la divine Catherine Spaak pour la sortie de The Libertine (La Matricarca) avec Jean-Louis Trintignant.
Si vous en manifestez l'envie, d'autres numéros de Continental viendront alimenter le carrefour, à vos claviers...

9 commentaires:

Anonyme a dit…

encooooooooooooore!!
nico du bengale

mister M a dit…

je manifeste pour

Clifford Brown a dit…

Tiens revoilà la fille au chat !

Sympa comme tout cette revue, je ne conaissais pas du tout, vivement la suite !!!

R. Claude a dit…

Cinérotica... Que voilà une nouvelle qu'elle est bonne !
Je peux faire le chichiteux ? Je trouve la couverture pas terrible. Ou alors, c'est pour l'effet un peu cheap... ?

losfeld a dit…

La suite la semain prochaine alors!

C'est vrai que la couv de Cinerotica est un peu limite, le contenu est pas mal, surtout pour le dictionnaire des films érotiques de C.Bier qui est une mine d'infos, hélas sans images... Sinon le reste est bien foutu mais pas assez riche à mes yeux si l'on compare avec des revues comme feu Fascination de Bouyxou à laquelle je consacerai un post bientôt. Cinérotica a en tout cas le mérite d'être la seule revue de ce type sur le marché.

Trix a dit…

What a *delicious* post!

I love it...

losfeld a dit…

Thanx :j

immoraltales a dit…

Thanx... great post

Phantom of Pulp a dit…

Il s'agit d'un excellent blog. C'est formidable de voir vos numérisations Continental. S'il vous plaît excuser mon français pourri.